Mon histoire: réveillant la géante

Mme Hendrina Doroba, Directrice Exécutive de FAWE et Mlle Agnès Feima Kenneh de Sierra Leone qui a décernée le prix pour l’histoire de changement la plus significative au 7 juillet 2016.<br>Copyright: FAWE

Je m’appelle Agnes Feima Kenneh. J’étais née le seize février 1993. En 1991, la guerre a commencé en Sierra Léone qui a continué pendant onze années. Ma mère et mon père étaient dans la région de Kailahun qui est situé dans l’est de Sierra Léone. Un jour, j’étais au dehors en jouant avec mes amis, quand nous avons entendu un bruit  étrange. Comme nous étions des enfants, nous n’avons pas compris le bruit. Soudain, les parents appelaient leurs enfants et un peu plus tard, mon père m ‘ appelait. Un moment plus tard, nous avons entendu un autre coup de feu et nous avons vu des gens qui ont couru en criant plein de larmes en langue maternelle “on est mort!  On est mort! Les rebelles marchent sur notre terre!” Nous avons traversé dans les brousses et les villages vides en cherchant le refuge. Des jours et des nuits ont passé lorsque nous traversions, jusqu’à nous sommes arrivés, enfin,  à la frontière du pays, et nous avons traversé à Guinée, qui est situé au nord-est de Sierra Léone. À Guinée, comme refugee, mon père a fait l’effort à admettre moi dans une école, Mais toutes les écoles étaient de la langue français. Ce fait ça et des autres facteurs étaient des causes pour faire de plans de rentré à notre pays. Nous avons entendu d’un autobus de Methodistes qui voyageait à Sierra Léone avec des provisions, et donc nous avons obtenu le transport gratuit à Freetown, Sierra Léone.

A Freetown, on a sejourné dans un camp de refuges qui s ‘ appelle Clay Factory, situé à l’est. Après plusieurs jours, mon père a essayé pour nous admettre dans une école pris de la. On nous a rejeté parce que : nous étions “des enfants rebelles”, le problème de la langue (nous avons parlé la langue maternelle et Krio), notre apparence -des cheveux dérangés et pas de souliers. Mes parents n’ont eu rien d’argent pour le frais d’inscription, il n’y avait l’éducation gratuit. Mais Dieu Merci, un jour particulièr, un groupe de femmes sont venues chez nous, et nous ont informé de huit écoles déplacés qui étaient établi, et parmi eux, l’université était pour les filles, ça c’était l’école FAWE. On nous a discriminé, donc FAWE nous a fourni des uniformes, des chaussures, des materielles scolaires et aussi un repas quotidien. Après  ils nous ont encouragé à apprendre.

FAWE était la seule organisation qui a adressé les enfants déplacés ce temps – la. L’organisation a eu le slogan “Envoie ta fille à l’école” et je l’ai aimé beaucoup. Le slogan était changé à un chanson qui est devenu bien célèbre dans la nation. Il y avait les lignes du chanson qui a expliqué que des filles pourraient devenir avocat, médecin, financiare, professeurs etc quand elles sont éduquées. Le chanson a eu des lignes en français et Krio. Des gens célèbres dans la Société, par exemple Dr. Christiana Thorpe, Haja Alimatu Abdallah, Dr. Talabi Lucan, souvent ils ont visité notre école pour des buts et des programmes differents qui réveillé les géante en nous. Ils ont élaboré l’importance de l’éducation. Ils nous ont provoqués à porter au maximum notre potentiel et ils nous ont enseigné comment réaliser nos capacités et comment les developpé. Nous avons eu des bons professeurs, les matériels suffis, des bourses et un déjeuner gratuit. A cause de ces-la, je suis restée à l’école primaire de FAWE pour six ans et je me suis mis pour l’examen de NPSE en 2004.

Ma répresentation pendant mon sejour à FAWE était très bon parce que j’étais toujours dans le dixième de ma classe.J’ai pris le NPSE, après je me suis inscrite à l’école Annie Walsh Memorial ayant obtenant trois cent trente-sept, le quatrième position cette année. Avec les rêves, la vision et l’ambition que FAWE a developpé dans moi, pour l’avenir, et la connaissance qu’ils m’a portée sur l’importance des femmes dans la Société et leurs significations vers la construction de la nation; donc, je suis devenu plus concentré sur mes études pour accomplir mon rêve de devenir une femme formidable. J’ai continué à travailler dur et j’ai ecrit l’epreuve de BECE en troisième forme en JSS avec un total de 20, puis j’ai continué à secondaire. J’ai choisi les sciences parce que  le gouvernement de Sierra Léone offre normalement les bourses aux filles qui vont étudier les sciences au college. J’ai écrit l’examen de WASSCE en troisième forme et j’ai obtenu le qualification pour entrer à l’université. J’étudiais le science de l’ingénieur au College de Fourah Bay et à l’université de Sierra Léone et j’ai spécialisé en travaux publics où il n’y a pas beaucoup de femmes. J’obtiendrai ma maîtrise il y a plusieurs mois. L’encouragement que j’ai reçu de mes parents, FAWE et le gouvernement ont donné à mon accès, le retention et le progrès scolaire, donc on a réveillé la géante qui dormait.